Genre de Mobilehome économique à véhiculer comme paysagiste en terres arides

Votre maison pour 13.500 euros pièce

EN IMAGES – Avec un peu d’ingéniosité et de débrouillardise, il est même possible de construire soi-même cette habitation, baptisée «Tiny House» par son inventeur néo-zélandais.

 Il s’agit d’une habitation sur roue qui peut certes ressembler à un camping-car et faire penser aux vacances, mais qui est tout ce qu’il y a d’opérationnel pour accueillir quelqu’un à plein temps. C’est un blog, l’Humanosphère, qui a publié des photos de cette habitation, baptisée «Tiny Home» par son inventeur.

«Je voulais un lieu à moi totalement autonome, qui contiendrait tout le nécessaire et qui me libérerait du stress d’avoir un revenu régulier pour payer un loyer et survivre économiquement. En tant qu’artiste, je trouvais que cela allait aussi me permettre de me concentrer plus sur mon travail que sur l’argent», explique Brett Sutherland. Et l’artiste ne s’est pas contenté de construire ladite habitation. Il a entrepris l’écriture d’un guide de construction, avec des photographies, qu’il a décidé de vendre, pour encourager les autres à faire comme lui. L’artiste a également tourné une petite vidéo de présentation de son habitation.

Cette habitation comporte également un avantage non-négligeable: dans la mesure où elle est construite sur roues, elle ne nécessite pas de permis de construire.

Cette petite spécificité peut effectivement avoir bien des avantages, mais en France, ce type d’habitation a déjà son propre régime juridique. «Ce type d’habitation est déjà réglementé, et dépend du même régime juridique que le mobil-home», explique Emmanuel Sourdon, avocat spécialisé en droit immobilier.

Décider de faire de ce type d’habitation sa résidence principale est une stratégie assez incertaine, même si cela ne coûte effectivement «que» 13.500 euros. «Il s’agit d’un profil juridique très incertain. Dès lors que vous décidez de rester plus de trois mois sur un même terrain, il faut une autorisation de la mairie. Et le renouvellement de l’autorisation ne peut jamais être garanti!», constate Emmanuel Sourdon, avant de conclure: «en plus du fait que ces autorisations sont toujours provisoires, les mobil-home ne sont pas systématiquement autorisés sur tous les terrains.» Difficile, donc, de faire cet investissement, sans devenir une sorte de «nomade».

Remarques du blogger :

En dehors de la très pratique yourte, de la tente (attention aux scorpions et serpents du désert), cette solution ci-dessus peut servir en plein désert (en automne à l”époque des plantations d’arbres), Mais, elle doit être adaptée pour résister à la chaleur (toit faiblement végétalisée collectant l’eau de pluie), aux incendies (tout en aluminium) et d’avoir de confortables réserves d’eau et de nourriture, des toilettes sèches également., des auvents rabattables des 4 côtés contre le soleil (et lorsque fermés pour protéger des vents de sable). C’est la solution lourde et “riche”.

La plus adaptée localement est la tente de bédouin sur dos de dromadaire, mais là qui nécessite eau supplémentaire et fourrage !

En autonomie autarcique, aucune improvisation n’est possible et il faut avoir pensé à tout :

– à la pompe à eau enfoncée profondément dans le sable,

– aux pommades (comme celle anti-brûlure donnée par un ami médecin qui m’avait sauvé d’un réchaud plein d’eau bouillante renversée sur mon pied en raid en moto le long de la côte sud marocaine)…, etc !

Demandez tout cela à votre soi supérieur (vu famille céleste bienveillante), qui vous aidera à faire la liste, autant que de vous servir de GPS !

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